Référencée ADAGE-Pass Culture pour les spectacles et ateliers de médiation culturelle.
Nous élaborons un programme qui s’attache à initier une approche critique et créative des modes de représentations, qui opposent réalité et virtualité.
Sur simple demande, nous pouvons proposer des ateliers avec les pratiques artistiques de nos intervenants.e
Contactez nous pour mettre en place un projet personnalisé dans votre établissement.
ADAGE est un dispositif pour financer des activités collectives d’éducation artistique et culturelle dans vos classes.
Dès la 6ème à la rentrée 2023.
TELECHARGEMENT DU DOSSIER PROJET PEDAGOGIQUE COMPLET
La compagnie Maje organise des temps d’ateliers pratiques et de résidences artistiques, immersives et interactives. La rencontre de la création artistique contemporaine avec les publics les plus diversifiés est au cœur du propos. Les questions de la démarche artistique et de la création sont activées, dans un dispositif d’échanges ludiques et d’expériences entre l’artiste et le public. Les artistes intervenants et animateurs de la Compagnie spécialisés dans leurs domaine d’interventions (danse et ombre corporelle, captation et projection art numérique, création d’ambiance sonore et pratique d’instrument de musique détourné) invitent le public à devenir acteurs d’une création spontanée et éphémère. Plusieurs formules sont possibles en fonction des objectifs attendus et du temps disponible. Chaque situation étant particulière, le programme des ateliers/résidences est souvent élaboré en concertation avec les organisateurs.
Echauffement durant une classe de danse improvisée
Fabrication de caches pour créer des ombres
Il s’agit de développer une action éducative en s’appuyant sur une expérience artistique concrète. Le contact direct avec un public jeune et diversifié trouvé auprès des écoles, des centres de loisirs, des lycées, dans les communes, permet de sensibiliser le plus grand nombre à la création contemporaine. Partant de cela nous pouvons :
- créer des passerelles entre pratique professionnelle et pratique amateur.
- développer et valoriser le pluridisciplinaire porté par la Compagnie (danse, multimédia, musique).
- tisser des relations de proximité à travers des temps d’échanges privilégiés
- stimuler le développement personnel et l’imaginaire en l’insérant dans une démarche créative.
- travailler et se questionner autour de différents aspects du réel : concret (le corps), projeté ou illusoire (son ombre), rêvé, transcendé, poétique et utopique (les images et la musique). Au delà Les techniques d’improvisations proposées permettent à chacun de se mouvoir avec sa corporéïté propre. La danse devient alors par l’effet d’une auto-appropriation, le langage du corps. Expressif et ludique, détenant un pouvoir créatif fort, il communique à la fois des sentiments, des histoires et des idées. Le corps en mouvement, transcendé par son ombre (une projection du réel…), le dispositif scénique, l’inter-action de l’art numérique et de la musique, regroupent le public autour d’une communauté reliée à un territoire culturel.
La première volonté est de simplifier les gestes. Nul chorégraphie complexe à mémoriser, nul mouvement exigeant à réaliser. Notre axe de travail se fixe autour de l’énergie, de l’élasticité du corps et de sa mobilité. Ceci rappelant et définissant les bases de la danse contemporaine. Au quotidien, cela permet de garder la forme et de mieux se connaître ! La danse complète notre système cognitif. Elle met en mouvement notre corps qui devient un instrument de communication à travers les idées et les métaphores qu’elle est capable de générer. Ainsi, en dansant nous nous identifions à nous-même et à une culture commune. Quiconque danse prend conscience de son corps et de son être : la relation aux autres et à l’ensemble de la société dans laquelle nous vivons est plus aisée. Tout le monde peut danser indépendamment du sexe, âge, niveau scolaire, milieu social, forme, taille et expérience. Participer à la danse est un acte social qui rompt les barrières et clivages. Notre programme a pour vocation de remédier, toutes proportions gardées, à l’enfermement et à l’isolement. C’est pourquoi, ce travail pédagogique, s’adresse particulièrement aux instances publiques qui s’impliquent dans une action culturelle forte basée sur la certitude que la danse, mais également, les arts sonores, visuels et numériques sont indiqués pour émettre des signaux bienfaiteurs. La contemporanéïté de ses médias regroupant matérialité, corporalité et virtualité, permet de poser la question de l’adoption systématique des technologies numériques qui déconcerte souvent la communauté éducative. In fine, ce programme s’attache à initier une approche critique et créative des modes de représentations qui opposent réalité et virtualité.
Spectacle de la création collective "ombre a peur du noir"
Dessins d'enfants participants au spectacle
A / Les participants assistent à la présentation d’un spectacle danse-ombre corporelle, art numérique et musique (forme courte) de la Compagnie, ou bien d’une répétition, d’une démonstration ou du filage complet du spectacle.
B / Découverte du théâtre d’ombres par l’histoire et son origine. Initiation et démonstration en lien avec le plateau spécifique, apprentissage de termes du matériel utilisé et des règles de mise en ombre.
C / Plusieurs réalisations sont proposées à partir d’une histoire définie en amont ou choisie ensemble :
- création de silhouettes et masques à partir de gabarits ou imaginés
- réalisation des décors
- découverte des possibilités offertes par la technique des ombres et des contraintes induites, avec et sans matériel. - apprentissage de la manipulation et de la mise en ombre - répétitions du spectacle avec une ambiance sonore.
La danse et l’image vidéo permettent conjointement d’aborder une double thématique : l’identité corporelle et visuelle. Le concept du Corps-Image y est exploré et développé. Le travail pédagogique de la Compagnie est lié avec l’enseignement scolaire en cours. Les contenus des différentes disciplines sont le prétexte à une recherche scénique. Ils sont abordés et réinterprétés à travers un travail de mise en scène qui utilise la danse, l’ombre et la vidéo.
Le corps, activé par la danse est au centre d’un dispositif scénique qui pose les enjeux de notre écriture scénique : elle est porteuse d’une réflexion sur le jeu et l’interactivité. Sa nature hybride entre réalité (le corps en mouvement) et virtualité (sons et images numériques) porte en elle-même le sens du rapport qui s’instaure avec le public. L’accès à l’interactivité et la question de la fabrication de l’Illusion sont abordées ici. Ceci donne concrètement accès, pour un public large, à la découverte des moyens de mise en œuvre de la création scénique contemporaine. L’approche et la découverte des technologies innovantes et de leurs potentiels, sont particulièrement favorisées dans cet atelier.
Des scénettes sont crées par les participants sur la base d’improvisations dirigées. Mise en scène dans le dispositif scénique de la Compagnie (corps, écran, multimédias), les sujets sont filmés par des caméras capables d’enregistrer les mouvements (suivi de mouvements ou Tracking).
Une interaction est alors possible. Les acteurs vont directement agir via le dispositif sur la projection en cours. Cette séquence de l’atelier est extrêmement ludique. La création est stimulée par le jeu et l’auto-implication.
- Le vidéoprojecteur projette un faisceau de lumière sur l’écran .
- Les acteurs passent devant le projecteur et produisent des ombres corporelles sur l’écran.
- Une caméra spéciale capte ces silhouettes et leurs mouvements (Tracking) et les transmet au vidéoprojecteur qui les projette à nouveau instantanément...
- La régie vidéo traite les images projetées en ajoutant des effets spéciaux.
- sur l’écran il y a un cumul et un recyclage immédiat des ombres produites : chaque geste initial est transformé et devient une œuvre visuelle entre danse et dessin.
D’un point de vue pédagogique, grâce à l’hybridation des techniques, nous rendons compte du chemin parcouru entre l’origine de l’image animée (l’ombre chinoise) et les extraordinaires possibilités qu’offrent les nouvelles technologies.
Les dimensions minimums de l’espace de pratique de l’activité sont 7m sur 7m avec une hauteur plafond de 2,80m.
Une mise au noir avec obscurité totale est impérative (volets, rideau occultant etc...).
L’espace a été rangé et libéré avant l’arrivée de la Compagnie et dispose au minimum d’une prise électrique 16A.
La Compagnie est en autonomie technique lumière, son pour les ateliers.
Installation soit la veille soit 2h30 avant l’activité, démontage 1h30.
Prévoir une place de parking au plus proche du lieu.
À noter que les besoins techniques dépendent du type d’atelier choisi ainsi que du lieu et du public.
Ces conditions se définissent et ce précisent donc au cas par cas.
Compagnie Maje/Maje Company/ Compania Maje /
Domaine web : compagniemaje.art
Téléchargements :
- Dossier de présentation complet
- Dossier Médiation
- Conditions techniques pour Fantasmata
Obtenir la captation complète de Fantasmata par mail :
- Captation complète Fantasmata
Conception web ; photographie : Eric Solé